INVESTING IN AFRICAN MINING INDABA 2024 : les défis du secteur minier africain en débat
février 5, 2024 . Par: sonamines
C’était au cours du Symposium des Ministres, organisé en marge de l’évènement, auquel a pris part le Directeur Général de la SONAMINES.
Faire de l’industrie minière un acteur majeur du développement des pays africains, c’est le fil conducteur de cette rencontre de haut niveau, avec des participants de qualité.
Ministres, représentants des gouvernements africains, et dirigeants des sociétés minières, se sont réunis le dimanche 04 février 2024, pour participer à des discussions d’importance, pour contribuer à tracer la trajectoire du secteur minier en Afrique, afin d’induire le changement escompté. Cette plateforme exclusive, a donc servi de cadre au dialogue, aux échanges de bonnes pratiques et à la collaboration pour promouvoir le développement, l’investissement, la sécurité et la durabilité dans le secteur minier.
Tout au long des travaux, les participants ont discuté en se fondant sur leurs expériences respectives, sur les défis qui interpellent les pays africains et comment développer des approches coordonnées, qui permettront de les relever collectivement en adoptant une approche cohérente et alignée, qui profitent non seulement aux différents pays, mais aussi au continent tout entier.
A cet effet, trois problématiques clés ont meublé les discussions notamment : la capacité de l’Afrique à tirer le meilleur parti de ses minéraux essentiels, comment améliorer les délais d’attribution des droits miniers et la conduite optimale des activités d’exploration. Des thèmes développer avec brio qui ont permis au Directeur Général de la SONAMINES, Serge Hervé Boyogueno, de s’approprier bon nombre de pratiques à même de contribuer au développement du secteur minier camerounais et, à une meilleure gestion des projets miniers de notre pays.
L’une des recommandations principales de ce symposium était celle de mettre en place les mécanismes de suivi des engagements pris au cours de la journée, afin que leur mise en œuvre puisse être examinée au cours de l’année suivante, afin que cette rencontre puisse être capitalisée au fils des ans, par l’industrie minière africaine.